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bienvenue sur notre blog blog développement durable vénération des arbres amour & spiritualité chanson et evasion s’immerger dans le changement publié 19 janvier 2009 dans non classé 0 commentaires tu ne peux espérer croître spirituellement à moins d’être préparé à changer. ces changements peuvent survenir petit à petit pour commencer, mais, plus tu avances dans le nouveau, plus ils deviendront importants et toucheront à ta vie toute entière. parfois il faut un bouleversement total pour amener une façon de vivre entièrement nouvelle. mais c’est stupéfiant comme tu peux t’habituer rapidement au changement tant que tu as du courage et la conviction que c’est pour un mieux. que la perfection soit toujours ton but. continue à t’étirer. cherche à atteindre ce qui est apparemment impossible. continue à grandir en sagesse et compréhension, et ne sois jamis, à aucun moment, satisfait de rester statique. il y a toujours quelque chose de plus à apprendre. il y a toujours quelque chose de nouveau et de merveilleux à découvrir dans cette vie, alors élargis ta conscience et ton imagination pour lui faire de la place. reste ouvert et réceptif afin de ne rien manquer. prières quotidiennes du 19 janvier, extrait de « la petite voix » d’eileen caddy. 37 ans,père de 5 enfants publié 29 mars 2008 dans amour & spiritualitã© 3 commentaires je l’ai découvert ce matin chez mon coiffeur …qui m’a transformée de blonde en acajou. il a 37 ans, il est beau comme un dieu, marié en 1993 et il est l’heureux père de 5 enfants : isabella (1997), les jumelles maya et kaila (1999), eva (2001) et jackson (2003). top-model, représentant des parfums calvin klein, il poursuit sa carrière de mannequin et fait ses premiers pas au cinéma en 2000. beau gosse, il joue actuellement à la télévision le docteur alex karev dans la série « grey’s anatomy ». l’article de presse n°239 de public le déclare « père le plus séduisant » par un sondage victoria’s secret, et en léger surmenage …mais il peut compter sur le soutien de sa tribu pour se rebouster. justin chambers http://lovegrey.skyrock.com/2.html http://passion-series.over-blog.com/categorie-10067122.html pouvoir de la vie, puissance de la vie publié 19 mars 2008 dans non classé 0 commentaires je vous donne à lire en partage la chronique de denis marquet sur nouvellescles.com n°56 décenbre 2007 – janvier – février 2008. bonne lecture, et n’hésitez pas à mettre un commentaire en bas de la page si l’article vous interpelle ou vous inspire. olivier nous vivons au siècle de la volonté. qu’est-ce que vouloir ? d’abord, se faire une idée de ce qui doit être. ensuite, agir pour la réaliser. vouloir : le mental s’oppose au réel pour s’imposer à lui. la volonté, c’est la pensée qui veut le pouvoir sur la vie. ce mode de fonctionnement est, à l’époque moderne, une telle évidence culturelle qu’il semble à l’être humain sa nature même. mais nous rend-il heureux ? tant que nous n’avons pas ce que nous voulons, par définition nous ne sommes pas heureux. ainsi beaucoup d’entre nous vivent-ils en état de perpétuelle tension (donc de souffrance), orientés vers leurs graals personnels qui sont autant de bonheurs pour demain. mais lorsque tous les objectifs sont atteints, est-on pour autant heureux ? dans ce retrait de la tension, on le sait bien, c’est la dépression qui guette. on y échappe soit en se donnant aussi vite que possible de nouveaux objectifs, soit en essayant de se convaincre qu’on est heureux (puisqu’on a tout pour l’être) tout en réprimant le mal-être qui nous hante – et l’industrie pharmaceutique nous offre pour cela une aide lucrative … pourquoi cette absurdité existentielle ? parce que la sacrosainte volonté des modernes se moque éperdument du bonheur. que cherche-t-elle ? nietsche et heidegger l’ont bien diagnostiqué : le pouvoir, exclusivement. plier la vie à l’idée qu’on s’en fait. or, notre idée du bonheur ne peut nous rendre heureux. d’abord parce qu’elle nous représente toujours le bonheur dans l’avenir, et entretient la croyance qu’il nous est impossible d’être heureux maintenant. ensuite, parce qu’elle est en réalité fondée sur nos manques. si notre pensée nous représente des buts à atteindre, c’est pour nous détourner de notre souffrance intérieure ; si elle veut le pouvoir, c’est pour nous protéger du manque. mais, celui-ci étant en nous, aucun objet extérieur ne nous permettra jamais de le combler. cherchant à obtenir l’amour qui m’a manqué, je me dirigeai forcément vers des personnes semblables à celles qui n’ont pas pu me le donner ! de même, j’aurai besoin de toujours plus d’argent puisque celui-ci me renverre perpétuellement au manque de sécurité dont il a pour charge de me protéger. ainsi nous épuisons-nous dans une quête compulsive qui nous enferme dans notre souffrance. enfin, notre idée du bonheur ne nous rendra jamais heureux, tout simplement parce que c’est une idée. or, la vie ne se laisse pas enfermer dans une idée : elle résiste ! a poursuivre notre conception du bonheur, nous entrons en combat contre la vie. passant notre temps à tenter d’éviter ce qui ne cadre pas avec notre chère idée et à provoquer ce qui y correspond, nous menons contre les événements, les autres et nos états intérieurs une guerre perdue d’avance : la vie aura le dernier mot, puisque nous mourrons. la clé pour être heureux : elle est double. abandonner toute idée du bonheur. renoncer au pouvoir sur ma propre vie.ne prétenant plus savoir ce que les choses doivent être pour que je sois heureux, j’autorise la vie à me surprendre. ne vivant plus en fonction d’une idée, je quitte la prison du mental et retrouve la saveur de mon corps et de mes ressentis. cessant de prétendre imprimer ma volonté au cours des choses, je me détends et goûte un bien-être qui ne dépend de rien. parfois, le destin détruit notre idée du bonheur et nous désespère de l’atteindre. et si c’était pour nous mener à la vraie félicité : le oui amoureux à la puissance de la vie, qui permet à celle-ci de s’exprimer librement à travers notre existence ? n’est au pouvoir d’un etre humain que de faire coincider sa vie avec l’idee qu’il se fait du bonheur. tariq demens lettre d’amour aux hommes publié 15 mars 2008 dans non classé 1 commentaire monsieur, je vous aime. mais comme c’est difficile de vous le dire sans que vous ne preniez peur… comment vous aimer sans vous le dire, sans que vous ne vous sentiez pris au piège ? et vous avez raison d’avoir peur parce que 99% des intentions derrière l’amour que nous vous déclarons ne sont pas toujours pures… on vous dit « je t’aime » pour vous posséder, pour satisfaire nos petites envies sexuelles, pour combler notre solitude, pour être mère, pour que nous nous aimions à travers l’amour que vous nous portez. nous vous aimons pour vos yeux bleus, pour votre argent, pour jouer les infirmières, pour vous sauver, pour nous rendre indispensable, pour prouver à la société que nous sommes “normale”, pour laisser une trace de nous à travers une descendance…et tant d’autres excuses. et vous avez 1000 fois raison de vous méfier de nous, cher homme, parce qu’il n’existe dans toutes ces déclarations pas le moindre amour… ce ne sont que des contrats maquillés. mais pardonnez-nous car la plupart du temps, nous n’en sommes jamais vraiment conscientes… ne vous a-t-on jamais dit que l’amour se décline sur plusieurs niveaux? en général, il commence au sous-sol et finit par le toit. et plus il part de haut, moins il faut le craindre. mais les amours qui se vivent “en bas” n’en sont pas moins nécesaires. le chemin de l’homme passe par tous les étages… l’étreinte sexuelle n’a-t-elle pas inspiré depuis tout temps les plus grands poètes? commençons pas la cave. là où les amants s’attirent physiquement uniquement, là où la rencontre n’est que sexuelle, passes éphémères ou domination du territoir sensuel de l’autre. le sentiment n’y intéresse personne, les valeurs de toute nature y sont mineures. on se situe dans l’univers des chasseurs-cueilleurs qui évoluera, en